OUinIINnn! AaaaHHAhhhh! OUIinhouin... snif, mon chateau, snif ils ont bousillé mon chateau! Mmm, reprenons nous, tout va bien se passer *grande inspiration*....... IIINNNHHIIINNNhinhinhinhinhin!!! C'est pas juuuuste! Pourquoooiii!? Maman!!! "oui?" me demande une voix sortant d'un interphone, grrr m'énerve à toujours m'espionner! J'appuie avec empressement sur le bouton et réplique "Nan c'est rien, rendort toi!" "Tu est sur?" " OUI!!!" "Vraiment? parce que sinon je peux venir!" "NAAANN!" ceci dit j'attrape une planche trainant par là et frappe de toutes mes force sur l'interphone, dans un grésillement, j'entend ma mère me demander ce qui se passe je frappe, je frappe, je frappe, pris d'une frénésie destructive soudaine je me mes à détruire tout ce qui se trouve à ma porté j'écrase mes étalages de potions, renverse les armoires, casse les vitres, déchire ma garde robe, rien ne me résiste, ma capacité berserk a pris le dessus sur moi et m'entraîne dans une haine apocaliptique contre tout ce qui m'entoure. Je me retourne et traverse une cloison pour arriver dans mon entrepot ou je reprend de plus belle mon massacre, armures, parchemins, armes tout y passe, objets magiques, je m'attaque maintenant à ma collection de livres, puis me dirige vers ma salle aux portraits, je les décroche et les déchire un par un, quand tout à coup mon point stop net sur un cadre accroché sur le mur du fond, frustré, je prend mon élan et décroche une formidable droite de toutes mes force dans la vitre du cadre, mais c'est dans une terribles douleur que mes phalanges se brisent sur celle-ci. J'allume une torche, l'approche du mysérieux cadre et discerne se qu'il renferme, une lumière se met à briller dans mes yeux, peu à peu, je sens la haine s'en aller et l'esprit berserk se rendormir... L'ultime épreuve... Impassable... je suis intouchable! HAHA! Elle est représenté dans se cadre, dans toute sa splendeur. Je me mets à courir vers ma salle de contrôle en riant tel un fou, L'ultime épreuve HAHA! Ils Vont devoir se rendre à l'évidence! Ils ne sortirons pas d'ici ! HAha! J'arrive devant les déchets laissés par mon attaque de folie, sous les décombres j'aperçois mon petit pingouin qui semble térrorisé, il me regarde sauter de joie et rire comme un dérangé en me dirigeant vers l'ordi de contrôle, ce qui lui fait encore plus peur et retourne se cacher sous les décombres. Je me précipite sur le bouton de l'interphone et crie presque "Grand aventuriers qui avez osé s'attaquer à mon donjon, vous avez passer toutes les épreuve avec succés jusqu'ici, bien qu'aidés par une chance intolérable mais que l'on dit, n'est-ce pas, du débutant! Je suis faire-play et vous laisse accéder à la dernière épreuve mais je dois vous dire que votre succés s'arrête ici... L'épreuve que vous aller maintenant devoir passer ne peut être vraiment qualifiée d'épreuve puisque elle est impassable, insurmontables, indestructible, se serait plutôt un mur placé sur votre route qui vous coupe l'accés a la suite, incassable et incomtournable... avancez maintenant..." Sur l'écran je vois le visage surpris de mes visiteur qui se voient soudain emportés par une force invisible vers la pièce ou réside l'épreuve final. "Laissez vous faire je vous enmène simplement à l'épreuve... ou devrais-je dire à votre fin" Je les vois se relacher peu à peu entrainés dans les couloirs de mon chateaux, l'un semble joyeux d'avoir retrouvé sa hache, mais perplexe quand à l'épreuve qui suit, l'autre toute crispé de se faire trainer de la sorte, et la dernière quelque peu indifférente. Ils se rapprochent, face à une porte fermée, ils marquent un temps d'arrêt "C'est là! je vous laisse..." La porte grince et s'ouvre sur un pièce sombre, les trois anvanturiers s'avancent, la porte se referme derrière eux. une lumière blafarde jaillit d'une petite ampoule et éclaire un homme avec un chapeau de cow-boy assis sur une chaise, tête baissée les ombre jouant sur son visage et son corps. Il ne bouge pas, les trois curieux commence à observer un peu plus finement le personnage, tout à coup florent aperçois un petit éclat sur son poitrail, il fronce les yeux et discerne l'étoil de ranger, sur laquelle est gravé le mot "Walker". La bouche de Florent s'entrouvre quand il se rend compte à qui il a à faire. Les filles le regardent dans cette expression béate et quelque peu appréhensive, l'homme bouge, elles se figent, il lève la tête et la lumière éclaire ses traits, et dans la même expression que leur confrère, elles discernent le visage de Chuck Norris... "Vous voyez, quand je vous disais que vous ne passeriez pas... HAha, HAHAha, HAHAHAHAHAHAAAAAHHHAAAAAAAA!!!!!!!" L'expression de leurs têtes et leur incapacité soudaine à bouger me réjouit et je me délecte de leur appréhension, je m'affale sur mon fauteuil et savours ce moment de plaisir dont je n'ai pas pu profiter depuis un bon bout de temps...